Violences scolaires
En 2004, certains établissements du secondaire ont fait, bien malgré eux, la Une des journaux. L'athénée Madeleine Jacquemotte
à Bruxelles, en particulier, fut montré du doigt pour des faits de violences qui empoisonnent la vie de cet établissement.
Au-delà des quelques individus stigmatisés pour leurs actes envers des professeurs, la question des violences à l'école doit
être analysée de manière beaucoup plus large. Et le constat que posent certains est inquiétant : une partie de notre enseignement
est aujourd'hui le lieu où se marquent les différences économiques, sociales, culturelles... Un terreau propice à l'apparition
de violences physiques, verbales ou morales.
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